DECOUVRIR SERENA ET DEMARRER UNE BASE LOCALE<<TUTSTARTDB>>
Heureusement plus long à expliquer qu’à
appliquer !
Découvrir le logiciel et le module GOOGLE MAPS / IGN
Vous venez d’installer Serena - il ne vous aura fallu que quelques minutes.
Pour démarrer l’application, il vous suffit de double-cliquer sur l'icône , et l'application se positionne sur la base
de données exemple, comme Mon_Exemple2xxx.mdb.
Dans la fenêtre d’accueil (celle qui montre une photographie), vous entrez dans
Serena en pressant Entrée ou en cliquant au bas de la fenêtre, en laissant
telle quelle la configuration par défaut, c’est à dire : identifiant
mnémonique admin, mot de passe vide.
Le plan de travail apparaît, le module GOOGLE MAPS / IGN s’ouvre. Tous les autres modules restent
fermés, seule la barre des boutons des modules est visible. Prenez connaissance du bouton d’aide et de la rubrique A LIRE ABSOLUMENT... si ce n’est déjà fait. Passez votre
souris sur les boutons de la barre d’icônes du menu principal pour prendre
connaissance du nom et de la fonction des différents modules.
Voir la vidéo : Découvrir l'interface
Le module GOOGLE MAPS / IGN s’ouvre sur une région de la plaine de l’Ain,
où se situe l’activité (supposée) et les espaces naturels protégés
(imaginaires) correspondant à l’exemple. Ceci a pour objectif d’inciter
l’utilisateur à utiliser au maximum ce module, très interactif et riche en
possibilités. Les fanions et les polygones indiquent la position des sites,
éventuellement leurs limites, ainsi que leur nom grâce aux infobulles. Les marqueurs
de ces sites (accompagnés d’un
fanion ou présents sur la ligne) permettront par clic d’afficher le site
correspondant (si le module SITES est ouvert), et même de sélectionner un site
lors de la création d’une observation.
Voir la vidéo : Découvrir GOOGLE MAPS / IGN
Pour compléter ce début de découverte, nous allons afficher des observations déjà
saisies : ouvrons le module OBSERVATIONS et choisissons en haut à gauche « ¤Toutes catégories » (liste blanche) et
« Toutes les observations (TOUT) »
(liste bleue), ce qui extrait la totalité des observations
de la base exemple.
Cliquons ensuite sur le bouton du panneau de commande à l’intérieur du module GOOGLE MAPS / IGN, le
panneau se « déplie ». On choisit une légende (marqueur) dans la
liste déroulante et l’on inscrit obligatoirement sa signification, par exemple
ici « Toutes espèces », puis on
clique sur « Ajouter les points de l’extrait »,
ce qui déclenche l’affichage des points sur la carte. On pourrait ainsi ajouter
plusieurs « couches » de points correspondant à des extraits
différents, par exemple divers groupes taxonomiques. Là encore si le module
OBSERVATIONS est ouvert, cliquer sur un marqueur affiche l’observation
correspondante dans son module. Il est également possible d'afficher les points avec une
légende et en adaptant la taille au nombre et la couleur à la date (voir vidéo).
Voir la vidéo : Des observations sur la carte
Lorsque nous avons réussi à afficher nos observations pour
plusieurs espèces avec les légendes adéquates etc. nous pouvons légitimement
espérer sauvegarder ce travail. Nous pouvons le faire de 2 façons :
-
soit publier sur le Web la
page que vous venez d’afficher, l’adresse sera automatiquement dotée d’un
préfixe (à bien retenir pour la retrouver par la suite !), et le fichier
de la page sera également stocké sous le même nom sur votre PC dans C :\Serena2Data\SerenaCarto
-
ou
simplement enregistrer l’image de la page sur votre PC sous
le format voulu et surtout aux dimensions voulues, même si ces dimensions sont
supérieures à celle de l’affichage à l’écran, ou même si elles sont supérieures
à celles de l’écran ! Vous pourrez ensuite recadrer votre image dans un
logiciel de dessin, ceci est utile pour illustrer un rapport par exemple.
Les pages ainsi publiées sont
facilement identifiables dans une liste déroulante et peuvent être supprimées
ou modifiées facilement. Si vous avez déjà un site et si vous désirez y
afficher vos pages, il sera très facile d’y placer les liens nécessaires.
Vous avez ainsi une idée des possibilités offertes par ce module, mais nous
allons maintenant démarrer une nouvelle base vide et enregistrer notre première
observation. Pour cela, nous allons quitter la base exemple en fermant le
logiciel, puis ouvrir à nouveau Serena, en nous arrêtant à la fenêtre
d’accueil, celle qui montre une photographie, pour démarrer une nouvelle base
locale.
Démarrer une nouvelle base locale
Dans la fenêtre d’accueil, dans la barre de menus du haut, cliquez sur
l’option Initialiser une nouvelle base… puis,
en sous-option Base locale MS ACCESS fichier .mdb / Créer une nouvelle base embryon .mdb
Une base de données embryon n’est pas une base
totalement vide, c’est une base de données déjà structurée pour fonctionner
avec Serena, sans données utilisateur, mais cependant pré-remplie à l’aide de
données standard (non modifiables) et de données par défaut, sortes de données
« moyennes », pour les listes de choix et autres paramètres. Vous
pourrez modifier ces dernières données par la suite pour répondre à vos besoins
propres.
Dans la fenêtre Windows qui s’affiche alors, créez Ma_base (vous pouvez lui donner un autre
nom) à placer de préférence dans le dossier proposé par défaut C:\Serena2Data. Notez que si vous avez autorisé
l’affichage des extensions de fichiers dans Windows (et ceci est vivement
recommandé pour des raisons de clarification) le fichier apparaîtra
sous son nom complet Ma_base.mdb.
Le module s’y connecte alors automatiquement. Ignorez pour l’instant la
liste déroulante de droite (« mode opératoire »). Laissez également
tel quel l’identifiant mnémonique admin (administrateur) et laissez vide le mot de passe pour le
moment. Vous allez pouvoir entrer dans l’application proprement dite – c’est à
dire le plan de travail - en pressant Entrez
(Enter) ou en cliquant sur « Maintenant
cliquez ici ou pressez Enter… ».
Au départ le module GOOGLE MAPS / IGN s’ouvre
automatiquement sur un point enregistré dans le logiciel. Comme nous n’allons pas utiliser ce module de façon intensive pour
l’instant, nous désactivons cette option dans le menu Outils / Préférences, qui contient nombre de
paramètres très utiles (à explorer), en désélectionnant la case « Ouvrir le module GOOGLE MAPS / IGN à l’ouverture du
logiciel ».
Voir la vidéo : Démarrer une base de données
L’observation à saisir est (par exemple) la
suivante :
Le 13 mai 2005
vers 9 heures, dans le cadre de ses observations « ordinaires »
quotidiennes dans la réserve de la Croze, Charles Sérizé – membre de la Société d’Histoire Naturelle de la
Plaine de l’Ain - a observé 9 canards de l’espèce colvert (3 mâles, 2 femelles
et 4 autres de sexe indéterminé) sur la partie nord de l’étang Lénière, en train de prendre leur envol.
Par où commencer ?
Il s’agit bien de saisir une observation, donc logiquement la
saisie va s’effectuer dans le module OBSERVATIONS. Cependant il faut garder à
l’esprit que le relevé (le « dossier ») dans lequel on
veut placer l’observation, que ce soit une campagne annuelle, un projet
particulier etc., le site où a eu lieu l’observation, et les sources
de l’observation (observateur
et validateur) DOIVENT être
créés au préalable dans leurs modules respectifs, car ce sont des éléments réutilisables
dans d’autres observations, et ils possèdent leurs propres données (attributs).
La démarche « bien organisée » consiste donc à commencer par
créer dans RELEVES le ou les relevés dont on prévoit le besoin,
dans SITES le ou les sites dont on prévoit le besoin, et dans
SOURCES la ou les sources dont on prévoit le besoin, puis de
créer les observations en sélectionnant pour chacune l’ensemble
relevé/site/sources qui convient.
Cependant, pour les étourdis, on
peut maintenant effectuer des créations / modifications de sources, de relevés,
de sites, ou même de choix (y compris dans les pseudo-champs à liste
déroulante), tout cela « à la volée » durant une création / modification
d’observation, sans avoir à interrompre la saisie et être obligé de
recommencer l’opération, évitant ainsi
des pertes de temps.
A ce propos, Serena optimise la
position des modules et pour « jouer » avec les modules, il est
souvent peu opportun de les déplacer, il vaut mieux cliquer sur la partie
visible du module dans lequel on souhaite travailler pour le faire passer au
premier plan, mais au même emplacement..
Nous allons créer au préalable le relevé, l’observateur, puis le site.
Relevé
Commencez par créer le relevé dans lequel vous allez placer votre
observation et toutes les observations ultérieures analogues.
Rappelons qu’un relevé définit le cadre
commun à un ensemble d’observations, par exemple une campagne
d’observations d’amphibiens du printemps 2004 etc. Le relevé n’est pas une
donnée cruciale, surtout au démarrage, mais il est bon de placer chaque
observation dans un « chapitre » homogène, et de plus le propriétaire
de la donnée (facultatif) est saisi au niveau du relevé. L’utilisateur
qui ne voit vraiment pas au départ quel relevé employer peut opter pour un
relevé « fourre-tout » portant un nom très général – par exemple Mes observations (!) - et affiner la chose
par la suite en renommant simplement le relevé dans le module RELEVES.
Cliquez sur RELEVES : le module des relevés apparaît, vide et en mode consultation. Pour
créer votre premier relevé, il faut passer en mode création
Commencez par sélectionner la catégorie de relevé, qui se
borne dans la base embryon à un seul choix pertinent (Relevé
d’inventaire), puis tapez le libellé proprement dit, dans notre exemple Observations quotidiennes convient le mieux. C’est
tout pour l’instant (les dates ne donnent pas lieu à saisie), la saisie peut
être validée .
Fermez maintenant le module RELEVES. Evidemment ce relevé, créé une fois
pour toutes, reste disponible pour d’autres observations, et sera proposé lors
de la saisie d’une observation. Le principe est le même pour les sources, les
sites et d’autres données.
Il est de bonne pratique de fermer
les modules après usage, sauf bien sûr quand on enchaîne les opérations. En
effet un module ouvert consomme de la mémoire et peut rendre le plan de travail
confus, ou même déclencher des interactions involontaires.
Voir la vidéo : Créer un relevé
Observateur
Comme le relevé et la date, l’observateur est un champ obligatoire
(étiquette en caractères gras). Comme le relevé, la source
« observateur » est gérée dans un module à part, le module SOURCES,
que vous ouvrez maintenant en cliquant sur .
Remarque : contrairement au module RELEVES – qui est vide au départ - le
module SOURCES contient déjà des données, celles utilisées dans le module
TAXONS (sources non modifiables par l’utilisateur).
Pour créer votre premier observateur, il faut passer en mode création .
Dans SOURCES, la catégorie par
défaut (Personnel Organisme) et le type par
défaut (Personne/Société) s’affichent
automatiquement. En deux mots, la catégorie est une aide
à la sélection, pour distinguer par exemple le personnel de l’organisme, le
personnel extérieur, les stagiaires, etc. Le type indique en
particulier si la source est simple ou elle-même composée d’autres sources, ou
si elle comporte une référence bibliographique.
Dans notre cas, il suffit de saisir le nom Sérizé et le prénom Charles. Ecrire le nom tout en majuscules (SERIZE) est très habituel mais fortement déconseillé
car ne tenant pas compte de l’accentuation des caractères, ce qui peut entraîner
des méprises ou même la création de doublons, en créant par exemple un Charles Sérizé et un Charles SERIZE, qui sont vus comme différents par
le logiciel. Puis on valide
Fermer ensuite le module SOURCES.
Voir la vidéo : Créer un observateur
Découverte des listes de choix
Dans SOURCES, la catégorie de source Personnel Organisme est un choix appartenant à une
liste de choix, et l’application fait beaucoup appel à ces
listes, qui sont pré-remplies au départ par des valeurs standard
« moyennes » ou par des « xxxxx »,
mais qui conviennent parfois mal au contexte de l’utilisateur. Ainsi dans cet
exemple, il vaudrait mieux employer la dénomination Personnel
SHNPA pour « Société d’Histoire
Naturelle de la Plaine de l’Ain », organisme où travaille Charles Sérizé. La
gestion des listes de choix – pour tous les modules - s’effectue dans le module
LISTES - CHOIX - PSEUDO-CHAMPS .
Pour modifier ce choix précis, on ouvre à nouveau le
module SOURCES, on place le curseur de la souris à l’intérieur de la boîte de
choix à modifier et on clique. Sans fermer SOURCES, on ouvre ensuite le module
LISTES - CHOIX - PSEUDO-CHAMPS qui se
positionne alors automatiquement sur la liste de choix correspondante. On
sélectionne par la boîte bleu ciel le choix à modifier, ici Personnel Organisme, et l’on passe en mode modification On replace Personnel Organisme par Personnel SHNPA, puis on valide
On ferme le module LISTES - CHOIX - PSEUDO-CHAMPS, on
ferme SOURCES et on l’ouvre à nouveau pour « rafraîchir » le module,
et on constate que la modification précédente est maintenant disponible. De la
même façon, on pourrait ajouter une catégorie supplémentaire, par exemple Stagiaire étranger, en passant alors LISTES -
CHOIX - PSEUDO-CHAMPS en mode création.
Voir la vidéo : Modifier une catégorie
Site
Cette notion centrale de localisation est très
générale. Elle s’applique aussi bien à une minuscule placette qu’à une région
entière, et peut être hiérarchisée en créant une arborescence de sites. Son
élaboration peut donner lieu à une certaine complexité et à nombre
d’hésitations : voir la rubrique SITES pour bien comprendre et
éviter certains pièges. Dans cet exemple nous allons opter pour la solution la
plus simple : le site sera la réserve naturelle dans laquelle travaille
Charles Sérizé, soit la Réserve
naturelle de la Croze.
Procédure semblable à la précédente : on ouvre le
module SITES , et on passe en mode création
.
Sans raison impérieuse, il est préférable de s’en tenir à la catégorie de site la plus générale: Site d’inventaire. On saisit ici les
données indispensables, le nom Réserve naturelle de la Croze et le code d’espace protégé CROZE (LA)
qui sont obligatoires.
Enfin on valide ce premier site
. Si on ferme le module SITES, le nouveau site devient alors disponible dans le
module OBSERVATIONS.
A propos des catégories
Chaque élément-clé de chaque module
peut être qualifié à l’aide d’une catégorie. L’intérêt principal de la
catégorie n’est pas d’enrichir les données mais de restreindre les choix à la saisie
en ciblant certains choix sans tout lister (ce qui reste possible si nécessaire
en utilisant ¤ Toutes catégories). Par
exemple, pour les sites, on peut restreindre la liste aux sites d’inventaire,
en excluant les catégories spéciales. Ou encore pour les taxons, on sélectionne
seulement les odonates etc.
Lancer la création de la première observation
Cliquez sur OBSERVATIONS : le module apparaît totalement vide, en mode consultation. Pour
créer votre première observation, il faut passer en mode création
Il est important de garder à l’esprit que les boîtes orange donnent lieu à
sélection dans une liste déroulante (sans possibilité de modifier
directement le libellé), et que les boîtes jaune sont destinées à taper du
texte libre.
Taxon, supergroupe et superprotocole
Le choix du taxon dans le module
OBSERVATIONS est primordial pour la suite, car la catégorie du taxon choisi
(dans ce cas, la catégorie est le groupe taxonomique) déclenche « à la
volée » dans l’interface la mise en conformité de tout l’interface (listes
de choix etc.) avec le SUPERGROUPE correspondant au groupe taxonomique (par exemple le
groupe Odonates appartient au supergroupe INSECTES, la
catégorie Oiseaux au supergroupe
OISEAUX, la catégorie Mollusques au supergroupe
INVERTEBRES etc.).
Les groupes taxonomiques ont un intérêt purement
pratique, car ils correspondent, non pas à un classement systématique
et scientifique, mais à des groupements familiers qui accélèrent la saisie dans
les listes déroulantes. Chacun de ces groupes taxonomiques est lui-même
rattaché à un SUPERGROUPE utilisé pour
l’adaptation automatique de l’interface.
Pour faciliter la compréhension, les groupes
taxonomiques sont écrits en minuscules, les
supergroupes en MAJUSCULES.
AMP AMPHIBIENS
(comprend un seul groupe, Amphibiens)
CHA CHAMPIGNONS – y compris les lichens (comprend un seul groupe, Champignons)
INS INSECTES (nombreux groupes : Coléoptères, Orthoptères
etc.)
INV INVERTEBRES – autres que les insectes (rassemble de nombreux groupes)
MAM MAMMIFERES – y
compris les chiroptères (comprend un seul groupe, Mammifères)
OIS OISEAUX
(comprend un seul groupe, Oiseaux)
PLA PLANTES –
sans les champignons, mais avec les bryophytes (ici, correspond à un seul
groupe, Plantes)
POI POISSONS
(comprend un seul groupe, Poissons)
REP REPTILES
(comprend un seul groupe, Reptiles)
La sélection de la catégorie du taxon (dans notre cas Oiseaux), puis celle du taxon lui-même, se font
soit en cliquant sur le nom correspondant dans la liste, soit en tapant le
début du nom, soit en combinant les deux techniques. On peut passer d’un champ
à un autre à l’aide de la touche de tabulation.
On choisit le
taxon au rang taxonomique voulu, en général l’espèce; mais si
l’identification est difficile, il est possible temporairement d’effectuer la
sélection au niveau du genre, en mentionnant ce fait par un commentaire (par
exemple : Taxon à confirmer), ce qui
permet par la suite d’extraire (voir ce terme plus loin) les observations
correspondantes pour les repérer et les réviser.
Plusieurs modes de sélection (liste
bleu-vert) sont disponibles : Référentiel (tout ce qui est disponible comme
taxons), Taxons
locaux (liste établie par l’utilisateur, augmentée éventuellement
des taxons déjà observés), auxquels s’ajoutent les modes pour les superprotocoles déjà installés (aucun n’est présent au
départ) : par exemple !STOC, !LIMIC, !LEPIDO
etc.. On verra que la sélection d’un SUPERPROTOCOLE prend le pas sur le SUPERGROUPE pour déclencher l’interface, et notamment la liste
des taxons correspondant au superprotocole.
Il est également possible
d’affiner le mode de sélection du nom latin en cochant ou non 2 cases placées
sous les boutons création / modification : Mode N et N (sélection par les N lettres du
premier mot latin suivies des N lettres du mot suivant, avec N = 2 ou 3), Taxons valides
(remplacement automatique d’un synonyme sélectionné par le valide correspondant
quand on quitte le champ). .
La sélection peut s’opérer soit par le nom latin, soit par le nom
vernaculaire, le basculement d’un mode de
sélection à l’autre s’effectuant en cliquant sur les pieds de colonne de la
liste déroulante . Ici la sélection du Canard
colvert par le nom vernaculaire ne devrait pas poser de problème car il
s’agit d’oiseaux, mais l’utilisation du nom vernaculaire n’est possible qu’avec
une minorité de groupes taxonomiques, les invertébrés possédant par exemple
très peu de noms communs utilisables.
Voir la vidéo : Sélectionner un taxon
Protocole
Il s’agit d’un concept très flexible, qui peut avoir
des sens différents pour des utilisateurs différents, et Serena propose un
grand nombre de protocoles « par défaut » : là encore la liste
de départ pourra être complétée ou allégée suivant les besoins. On ne trouvera
pas les superprotocoles dans cette liste, qui est
limitée aux protocoles du supergroupe du canard
colvert (OISEAUX). On a vu au paragraphe
précédent que le SUPERPROTOCOLE est sélectionné dans la liste bleu-vert du mode
de sélection. Dans notre exemple, nous nous bornerons à sélectionner un
protocole courant, par exemple Observation
aléatoire.
Relevé
A ce stade, on sélectionne
l’unique relevé présent dans la liste, celui que nous avons créé au début du
tutoriel.
Date et heure
Après le relevé, on saisit la date et l’heure (13 mai 2014 vers 9 heures) dans les champs appropriés, dans les formats
corrects, en s’aidant si nécessaire du calendrier intégré .
C’est le moment
d’utiliser l’aide contextuelle. En
effet si on clique dans la boîte de date pour positionner le curseur de la
souris à l’intérieur, puis sur le bouton d’aide du menu
,
l’aide affiche la rubrique concernant la saisie des dates etc. Après avoir pris
connaissance de la rubrique, vous pouvez revenir au tutoriel par la touche
« précédent » de l’aide (<<).
Dans le cas présent il s’agit
de 13/05/2014 et de 09:00
environ (remarquez la possibilité d’ajouter un commentaire à l’heure, ce
qui est déjà possible pour la date).
Observateur / Validateur
On sélectionne l’unique observateur disponible dans ce contexte. Le
validateur, dans la configuration standard, n’est pas obligatoire. Nous le
laisserons vide dans cet exemple.
Liste de choix Confidentialité
Là encore, vous sélectionnez le choix qui vous
convient, et vous pouvez comme précédemment modifier ou compléter la liste.
Dans notre exemple, on utilisera : Public
Liste de choix Validation
Contrairement à la liste précédente ces choix sont
standard et ne peuvent pas être modifiés, mais on peut en créer d‘autres si
nécessaire. Attention : le choix Validé par le
validateur impose que le champ Validateur soit renseigné,
ce qui n’est pas le cas ici, il faut donc sélectionner En
cours de validation (si on omet ce choix, il s’inscrira
automatiquement).
Site
Le site à sélectionner est celui qui a été
précédemment créé (Réserve naturelle de la Croze). On peut le sélectionner en affichant la
catégorie (ou « ¤Toutes catégories »)
puis en cliquant sur le site voulu dans la liste déroulante. Mais il est
également possible de le sélectionner en cliquant sur le marqueur du site
sur la carte GOOGLE MAPS / IGN.
Habitat
Nous n’avons pas prévu de saisir ici un type
d’habitat, vous pouvez le faire également à titre d’exercice. Remarquez
simplement qu’il faut d’abord sélectionner la catégorie, puis le code habitat –
soit par le code numérique soit par le libellé, le basculement d’un mode de
sélection à l’autre s’effectuant en cliquant sur les pieds de colonne de la
liste déroulante
Coordonnées géographiques
Vous pouvez saisir les coordonnées géographiques
manuellement (conseil : utiliser l’aide contextuelle) mais c’est extrêmement
fastidieux et sujet aux fautes de frappe, il y a mieux à faire en utilisant une
carte, soit de préférence le module GOOGLE MAPS / IGN devenu très riche en fonctionnalités, soit le
module CARTES, encore très embryonnaire dans Serena 2 au stade actuel,.
L’étang Lénière, près duquel
nous sommes supposés avoir fait notre observation (voir début du présent
tutoriel) existe réellement, pour « y aller » on clique dans GOOGLE
MAPS / IGN sur le bouton « Aller vers » (qui affiche ensuite « Affich. loc » pour
permettre de revenir plus tard aux coordonnées), le champ devient jaune, on y
saisit «>>étang
lénière ain », et on clique sur , ce qui y transporte la carte. On clique ensuite sur le point supposé de
l’observation elle-même, ce qui le place en mémoire, il devient le POINT EN COURS. Dans le module OBSERVATIONS en mode création, il
suffit de cliquer sur le bouton
pour importer les coordonnées de ce
point en cours, ceci dans le système de projection choisi dans GOOGLE MAPS /
IGN. Il existe aussi un système de saisie directe (actif par défaut) qui importe en
une seule opération les coordonnées dans les champs.
Il est bon de renseigner
également le champ « Localisation » (lieu précis) – ici Nord de l’étang.
Effectifs
On renseigne le nombre total,
ici 9. On s’aperçoit alors qu’il n’y a en
page 1 du formulaire aucun champ pour les nombres détaillés d’effectifs. En effet,
par défaut, et pour éviter de donner une impression de complexité aux
utilisateurs débutants, le module OBSERVATIONS est présenté sous
la forme d’une interface simplifiée : seuls un minimum de champs
figurent en page 1, tous les autres sont en fait amassés en page 2, mais ils ne
sont pas cachés, pour permettre de récupérer facilement des champs
supplémentaires.
On fait apparaître la page 2
en cliquant sur et on peut y
trouver le bloc de pseudo-champs contenant les effectifs détaillés par type
d’individu (Nbre indéterminés etc.). On peut déplacer ce bloc de pseudo-champs sans problème vers la
page 1 soit à l’aide du CANEVAS du module CONFIGURATION, ou – uniquement dans le cas du module OBSERVATIONS -
à l’aide d’un bouton MODIF. FORMULAIRE . Cependant
cette opération ne peut pas être effectuée pendant la création. Nous allons
donc valider la création de notre première observation dans l’état actuel, et
nous ferons plus tard les modifications nécessaires.
Comportement
N’oublions pas que nous devons
noter le fait que les oiseaux sont en train de prendre leur envol. Il est
possible de noter ce fait en commentaire, mais il est plus adapté d’utiliser le
champ « comportement », et dans ce cas le choix « fuite,
envol ». Comme dans le cas des effectifs détaillés, ce champ se trouve en
page 2, et nous devons de la même façon le déplacer en fin de page 1, ce qui
est très facile. Nous ferons également cette adaptation en même temps que la
modification exigée par les effectifs.
Commentaire
Il est possible de saisir un
commentaire, qui peut être volumineux et dépasser la taille apparente du champ
(champ de type mémo). Pour la lisibilité, c’est le seul champ où les sauts de
ligne sont tolérés. Nous verrons plus tard ce que les sauts de ligne deviennent
dans l’exportation des données. Dans cet exemple, nous allons simplement
inscrire : Observation de test.
Découverte des pseudo-champs
Les PSEUDO-CHAMPS se comportent comme des champs librement créés et modifiés par
l’utilisateur, bien que techniquement ils soient gérés comme des choix auxquels
on peut attribuer des valeurs. Ils sont groupés par blocs (analogues à des
listes) localisés dans le module à l’aide de petits rectangles verts à gauche
de chaque page du formulaire.
Les pseudo-champs ont un
potentiel très important car ils permettent à l’utilisateur de créer des champs
« à lui » - sans limitation du nombre en dehors de limites pratiques - qu’il pourra exporter ou importer comme des
champs normaux, sans modifier ni alourdir la structure de la base.
Dans OBSERVATIONS, on dispose
ainsi de pseudo-champs pour :
-
les effectifs par type d’individu, les données biotiques, les mesures
biométriques, les données de gestion – tous étant configurés au départ par SUPERGROUPE,
-
les données abiotiques, en principe communes à l’ensemble des supergroupes.
Dans le cas qui nous occupe,
nous désirons être en mesure de saisir à la suite du nombre total (9) les données suivantes :
Nombre adultes mâles … 3
Nombre adultes femelles … 2
Nombre indéterminés … 4
On voudrait de plus que le
nombre d’indéterminés soit automatiquement calculé par différence. Ce calcul
automatique s'appelle "cohérence automatique des effectifs" et constitue une
option de "Préférences" (et en principe Serena pose au préalable la question).
Validation finale du module OBSERVATIONS
Flèche verte pour valider,
et si quelque chose ne convient pas, Serena le signalera avec force
clignotements pour exiger une correction… Une fois l’observation enregistrée
avec succès, Serena revient en mode consultation (champs blancs).
Voir la vidéo : Créer une observation
Personnaliser l’interface
L’interface de logiciels comme Serena est souvent
jugée trop lourde et trop complexe, soit par les utilisateurs potentiels, soit
souvent par leur hiérarchie - soucieuse de ne pas décourager des gens déjà peu
enclins au départ à se consacrer à une tâche aussi ingrate que la saisie de
données. Et le premier degré de perception de la complexité est le nombre de
champs du formulaire ….
L’expérience de Serena 1 a montré qu’il est difficile
d’analyser objectivement le problème. Il a donc été jugé opportun de proposer
au départ, pour la saisie des observations dans Serena, une interface simplifiée.
En fait il s’agit d’une simplification prudente, car tous les champs restent
visibles : simplement, on a disposé en page 1 les champs essentiels, et
« parqué » tous les autres en page 2, celle qui est visible seulement
par un clic volontaire sur un bouton.
Pour permettre un réarrangement des champs,
l’interface a été découpée en « bandeaux » horizontaux, chacun
contenant les boîtes (titre, champ, liste etc.) correspondant à une donnée – ou
parfois à plusieurs (comme les coordonnées géographiques, un bloc de
pseudo-champ etc.). Le CANEVAS est un schéma coloré de ces bandeaux qui
permet d’en modifier la disposition ou d’en cacher certains. Pour les
utilisateurs désireux d’avoir d’emblée une interface complète, le canevas
permet également de revenir à l’interface standard (non
simplifié). L’utilisateur bénéficie ainsi d’une grande souplesse dans
l’agencement de ses données. La gestion du canevas s’effectue dans le
module CONFIGURATION.
DE PLUS, pour modifier de façon simple l’emplacement des champs et
des bandeaux
dans le module OBSERVATIONS, et ceci sans passer par le module CONFIGURATION, il
existe une fonctionnalité « glisser-déposer » à partir d’un bouton
« Modif. formulaire » situé
sur la page 2 du module (page de droite). La manœuvre est très facile, il est
possible d’insérer des lignes vides pour permettre ou faciliter le
positionnement des champs déplacés. La procédure est décrite sur le panneau qui
apparaît dès que l’on clique sur le bouton. La modification s’applique au cas
du SUPERGROUPE du taxon affiché, et le résultat est enregistré dans
le canevas relatif à ce supergroupe (par exemple
celui qui correspond aux observations d’AMPHIBIENS).
Ceci permet au minimum de répartir
les bandeaux, donc les champs, entre la page de gauche (principale) et celle de
droite, et de modifier l’ordre dans lequel ils se présentent, mais également de
faire
disparaître l’affichage de certains bandeaux (bouton « Supprim. bandeau ». Bien évidemment
les données sous-jacentes ne sont pas supprimées, et il sera possible plus tard
de faire apparaître les bandeaux à nouveau, à l’aide du module CONFIGURATION et
de son gestionnaire de canevas. Bien noter cependant les données qui
disparaissent ainsi de l’interface, il serait en effet très maladroit d’oublier
que l’on a procédé à ces évictions et de créer à nouveau ces données plus tard
sous une autre forme (pseudo-champs etc.) !
Si l’on constate que l’on a
« raté » trop de manipulations et que le résultat (déjà enregistré)
ne convient vraiment pas, un bouton « SOS »
offre une solution de repli qui permet de revenir au canevas par défaut
(« réglages d’usine »), soit au canevas standard complet soit au canevas
simplifié.
Voir la vidéo : Adapter le formulaire de saisie
Retour automatique - remise à blanc
– répétition des champs
Pour le remettre directement en mode création,
ce qui permet d’enchaîner les créations et de gagner du temps, il faut cocher
la case Retour
autom. située sous les boutons création /
modification (voir infobulles).
Lors du passage en mode création, bon nombre de champs
réaffichent
les valeurs de l’observation précédente (qui sont ainsi répétées)
pour éviter de refaire des saisies fastidieuses. Pour que tout se remette à
blanc, il suffit de cocher la case Remise à
blanc située sous le pavé de commandes (voir infobulles). Pour tout
répéter, il faut cocher la case Répét. totale.
Pour répéter certains champs et ne pas répéter les
autres, il faut paramétrer la répétition à l’aide
du bouton .
Les champs répétés apparaissent en rouge, les champs non répétés en vert, on
peut changer l’état d’un champ en actionnant la touche F11. Voir ACCELERER LA SAISIE DES OBSERVATIONS pour plus de détails.
Astuce mnémonique : Rouge =
Répété, Vert = Vidé
Après la saisie de quelques observations…
Vous venez ainsi de saisir votre première observation.
Plusieurs notions-clés sont l’objet de tutoriels complémentaires :
FAIRE UN EXTRAIT ET EXPORTER LE TABLEAU : sélection d’un
ensemble d’observations répondant à certains critères et exportation dans Excel
ou OpenOffice - voir plus loin
IMPORTER UN TABLEAU D’OBSERVATIONS -
IMPORTER UN TABLEAU DE SITES –
A noter l’option d’extrait Mes observations du jour
(MJOUR) : tous les
enregistrements créés ou modifiés ce jour par l’utilisateur, dans l’ordre
chronologique, très utile en création/modification, en laissant la vue en
tableau ouverte pour vérifier le bon déroulement du travail (voir fonction EXTRAIT . 6. Actions
spécifiques)
Les difficultés qui peuvent de se
présenter
(ATTENTION: trop de modules ouverts simultanément peut poser des
problèmes, fermez-les après usage)
Faire un extrait et exporter le tableau
L’objectif de Serena n’est pas seulement d’
« empiler » des milliers de fiches d’observation, c’est d’utiliser ce
gisement pour réaliser des études particulières. Pour cela il faut se limiter
aux fiches pertinentes pour l’étude en question, donc les sélectionner – on dit
ici les extraire.
La base exemple
Nous allons effectuer l’opération sur la base exemple
la plus récente. C’est celle qui porte le suffixe de version le plus élevé. Pour être certain de bénéficier
de la dernière version de la base exemple en commençant un nouveau travail, il
est recommandé de créer soi-même une telle base, en utilisant le menu « Initialiser une nouvelle base / Base
locale MS ACCESS .mdb / Créer une nouvelle base
exemple .mdb ». Nous allons de cette
façon créer la base exemple MonExempleTest.mdb, et ouvrir Serena sur cette base.
Ouvrez ensuite le module OBSERVATIONS, avec lequel
nous allons illustrer ce tutoriel. En tout l’exemple contient à l’origine 302
observations.
L’extrait
Vous allez
extraire les observations d’oiseaux effectuées en juin 2013 par un observateur dont
vous ne vous souvenez plus du nom exactement (vous savez qu’il commence par
Van…).
Oiseaux: il s’agit de la
catégorie, une donnée ne figurant pas dans les critères
d’extrait, car il faut la sélectionner au départ dans la boîte correspondante
en haut à gauche.
Le nombre d’observations se réduit à 60. Ainsi la
sélection de la catégorie agit comme un pré-extrait.
Pour lancer l’extrait, on sélectionne dans la boîte
d’extrait l’option Saisir critères puis extraire
(CRIT).
Le module passe alors en mode extrait,
prêt à recevoir les critères de choix dans les boîtes correspondant aux
différents champs de donnée. On introduit 01/06/2013 - 30/06/2013
dans le champ date, mais on peut également introduire plus simplement 06/2013.
Dans le champ observateur, on pourrait utiliser comme
critère l’un des noms de la liste déroulante des sources. Ce qu’on veut ici est
un peu plus sophistiqué et revient à imposer simplement que le nom d’un des
observateurs contienne van, le critère est
donc *van*, car ceci inclut les équipes
d’observateur où le nom commençant par van n’est pas en première position…
Quand on tape van au début du champ, la
boîte de sélection réagit immédiatement en faisant apparaître le premier van
de la liste, c’est à dire Vandersteele Jean-Pierre. Ce n’est pas ce que l’on veut ici,
on désire taper du texte libre : l’astuce consiste à taper d’abord un
espace comme premier caractère, afin de désamorcer le positionnement
automatique de la liste déroulante (l’ « autocomplétion »),
ce qui est sans incidence sur le critère. Même chose pour les taxons etc.
Puis on clique sur ,
seuls sont alors chargés dans le module les enregistrements répondant aux
conditions, 7 en l’occurrence.
Si on sélectionne à nouveau Saisir critères puis extraire
(CRIT), les critères réapparaissent, on peut
en ajouter ou les modifier. Par exemple, on peut restreindre l’extrait en
imposant que le relevé soit « Observations
routinières », ce qui va réduire le nombre à 3. On remarque que
les critères s’inscrivent en jaune dans la boîte de messages.
Quand on ferme le module, les critères disparaissent –
mais il existe un moyen de les enregistrer via une REQUETE ENREGISTREE . Pour revenir à l’ensemble des enregistrements il est nécessaire de lancer
l’option « Toutes les observations (TOUT) ».
Prenez connaissance de la rubrique EXTRAIT si ce n’est déjà fait, pour explorer les divers
aspects des extractions, notamment les intervalles de dates, les expressions
logiques etc.
Voir la vidéo : Effectuer un extrait
La vue en tableau
On passe au mode tableau en cliquant sur le bouton approprié
Les enregistrements extraits apparaissent sous forme d’un tableau dans
une fenêtre séparée. Les titres de colonnes portent le nom des champs
informatiques correspondants, les infobulles des colonnes
indiquent les noms « en clair ».
Il est possible de déplacer et de redimensionner le tableau pour qu’il
couvre l’écran. Mais surtout, on peut l’exporter instantanément,
entre autres vers Excel, Libre Office etc. . Une façon simple d’exporter le tableau
consiste à choisir le format texte tabulé .txt.
C’est le format le plus utilisé dans Serena, car il est beaucoup plus sûr et
plus commode que le format .csv par exemple, qui a l’inconvénient de faire
appel à des signes de ponctuation (virgule ou point-virgule) comme séparateurs.
Il suffit en effet de copier du texte tabulé dans le presse-papier puis de le
coller dans un tableur (Excel, Libre Office etc.) pour obtenir le tableau
correspondant.
On remarque que le tableau exporté comporte une ligne de titres
informatiques et une ligne de titres « en clair », titres qui
représentent un « jeu de colonnes » que
l’utilisateur peut modifier à sa guise grâce au bouton ,
par des glisser-déplacer ou des suppressions. Une fois que l’on est ainsi
parvenu à organiser le jeu de colonnes correspondant exactement à ses besoins, il est
possible de l’enregistrer pour le réutiliser plus tard.
Inversement il est possible de revenir au jeu standard par défaut à l’aide du bouton
. Toutes les opérations nécessaires sont décrites en
détails dans les rubriques VUE
EN TABLEAU et REQUETE
ENREGISTREE .
Notons que le tableau possède l’immense avantage d’avoir pour les
différents choix et pseudo-champs des valeurs en
clair, et non des identifiants numériques, ce qui diffère totalement du
contenu des tables de la base de données. Quel que soit le système de base de
données utilisé (MS ACCESS, PostgreSQL, local ou Web) il suffit
d’exporter le tableau sous MS ACCESS pour pouvoir utiliser des requêtes
directement sur les valeurs « en clair », et ceci BEAUCOUP PLUS FACILEMENT
qu’avec des requêtes sur les tables de la base de données.
Voir la vidéo : Exporter la vue en tableau